Voyante par téléphone

Une de nos meilleurs life coach partage avec nous sa spiritualité et son expérience ! Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit !

Chaque jour, je consacre du temps au feu.

La chaleur du bois est différente de celle des radiateurs ou des pellets. C’est une chaleur vivante, qui augmente, diminue, se transforme, il faut en prendre soin. Et il se répand, son aura grandit et remplit la maison, un nuage accueillant. Le feu, je m’en rends compte, est le centre de la maison, son cœur. Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit ! Lorsqu’il fait froid dehors, allumer le feu à un niveau profond signifie assurer la survie. C’est un geste primordial et puissant que les animaux de la maison observent également avec grand intérêt.

Il y a environ un million et demi d’années, en Afrique, les premiers hommes de notre époque ont appris à maîtriser le feu. C’était une réalisation fondamentale. Avec le feu, l’homme a appris à contrôler l’intuition, à l’utiliser comme un outil.  Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit !Avec le feu, il pouvait prolonger les heures de lumière, se défendre, cuire des aliments, se réchauffer (et donc survivre même dans les climats froids), construire des outils (terre à cuire ou métaux) et transformer des substances par la chaleur.

C’était une découverte si importante qu’on ne voulait plus jamais la perdre. Elle était reconnue comme un don sacré et, dans les rituels ancestraux, elle était liée à la déesse sous sa forme d’oiseau. Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit ! Dans de nombreuses traditions anciennes, il y avait un autel sur lequel brûlait toujours un feu considéré comme sacré, les prêtresses se consacrant exclusivement à le maintenir allumé. C’est encore plus récent, dans la Grèce et la Rome antiques, où Estia/Vesta était honorée comme la déesse du foyer et où les vestales, dès l’enfance, étaient choisies et consacrées à la déesse, comme ses vierges éternelles.

C’était le cas en Irlande celtique, où le feu de la déesse Birgit à Kildare n’a jamais été éteint. Birgit représentait l’aspect lumineux de la Déesse Triple, la Déesse Vierge de la Lumière et de la Renaissance, également représentée sous la forme d’un cygne blanc, lié au solstice d’hiver et à l’espoir. Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit ! À l’époque catholique, elle a été remplacée par Sainte Brigitte, et ses prêtresses par des religieuses.

Dans la Grèce antique, où la dualité masculine/féminine ne trouvait pas de solution, Estia était l’aînée des enfants de Zeus. Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit ! Présente discrètement sur l’Olympe, elle ne participe pratiquement jamais aux affaires orageuses de ses frères. Elle est souvent représentée comme une vieille femme et est l’une des déesses vierges (avec Athéna et Artémis).

En Grèce, dans les maisons, l’autel d’Estia avait une forme circulaire et coïncidait avec le foyer, représentant ainsi le centre autour duquel tournait la vie familiale.

Estia : silencieux mais central.

A l’extérieur de la porte se trouvait l’autel d’Hermès, en forme de colonne – donc phallique, en face de l’autel d’Estia. Hermès (Apollon ou Mercure pour les Romains), dieu de la communication, du commerce, de la médecine, du vol et des voyages, était le dernier des fils de Zeus et Héra, le plus jeune. Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit ! Dans les civilisations patriarcales indo-européennes, nous avons donc un principe féminin fermé et protégé, silencieux et caché, soigneusement séparé du principe masculin actif et protecteur, dédié à l’extériorité et à l’action.

Estia est une déesse oubliée, presque jamais représentée, aujourd’hui souvent inconnue. Dans les sociétés patriarcales, sa figure devient discrète et ne jouit que de peu d’attrait, identifiée à la figure de la « tante vierge », l’archétype de la vieille femme sage et discrète, qui s’occupe des autres sans rien demander. Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit ! La femme de la maison, l’ange du foyer, sans passions ni désirs personnels, qui se consacre à sa famille, réchauffant leur vie avec un art délicat. La femme qui s’annule volontairement, se tient à l’arrière-plan et n’a aucune ambition. Anorgasmique – ou capable de se satisfaire seule -, elle ne tombe pas facilement amoureuse et dans certaines cultures elle est considérée comme l’épouse idéale, mais certainement dans les femmes d’aujourd’hui son archétype n’a pas beaucoup de partisans. C’est une voix cachée, un peu méprisée parce que tant et si longtemps déformée et réduite par sa vision patriarcale.

Le symbole d’Estia est le cercle, parce qu’il est complet en lui-même mais aussi parce qu’il est le formulaire vide prêt à accueillir. Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit ! En Inde, le cercle et la colonne que les Grecs gardent séparés sont représentés ensemble : la colonne (le lingam, le phallus du divin Shiva) est au centre d’un cercle qui représente le sacré Yoni. Le principe masculin et le principe féminin sont ainsi réunis et fusionnés en un seul autel.

Je pense que cette déesse oubliée mérite plus de réflexion aujourd’hui.

Hestia est la gardienne du feu, la femme complète qui perçoit son corps comme un temple et qui est prête à donner. La sienne est un don sacré et ritualisé. C’est la femme initiée, qui connaît le mystère du feu. Elle est la protectrice des ténèbres, le foyer, l’autel, l’espace sacré.

Sa sexualité est libre et désintéressée, car elle sait comment allumer le feu. Elle n’a pas besoin d’un homme pour le faire, son cercle est complet et ce qu’elle accueille dans son centre n’est pas par besoin mais par vocation. Parce que la chaleur de son feu peut réchauffer d’autres personnes qu’elle.

Estia est la femme qui se tient en son centre et de là donne, comme dans le Tarot, le Sept de Tasses, où d’une tasse débordant au centre l’eau coule et remplit aussi les autres tasses.
C’est l’aspect statique de la déesse, silencieuse, où Aphrodite représente la déesse alchimique de la transformation. Hestia règne sur le feu, Vous avez tapé voyante par téléphone sur google.ch ? Vous êtes au bon endroit ! Aphrodite se laisse enflammer. Ce sont deux aspects complémentaires de la Déesse, deux phases (parmi tant d’autres).

Si l’Hestia qui vit comme un archétype en chacun de nous est nourri, il en résultera un équilibre intérieur profond. Hestia est la déesse du silence et de la lumière. Sa voix se fait entendre dans le crépitement du feu et si l’on entre dans son cercle magique, le temps cesse d’exister.

Nous serons des femmes qui agissent non pas par nécessité mais par choix.

Si une femme sait être seule et protéger son temple intérieur, son amour sera toujours un cadeau et en même temps, aucun amour ne pourra jamais l’éteindre.

Il lui suffira de fermer les yeux pour voir le blanc de son cercle dans la lumière traversée par les vols des oiseaux les matins d’hiver, et pour savoir exactement où elle se trouve.

Estia est la déesse qui n’a pas peur de l’hiver et qui, si elle se perd, peut retrouver le chemin de la maison simplement en traçant un cercle autour d’elle. Estia sait que, invisible dans la glace, une ancienne flamme brûle et ne s’éteint jamais. C’est le feu mystique d’où naissent toutes les histoires. Elle est en fait cette mystérieuse déesse, également la déesse des histoires autour du foyer. La déesse des traditions secrètes, des contes initiatiques et de la sagesse ancienne. Le noyau lumineux qui alimente le moteur de la vie. Elle semble lointaine et oubliée mais en réalité sa voix silencieuse est toujours là pour nous, comme le regard d’une grand-mère, une ava sage qui ne craint rien et connaît la douleur, la solitude, l’art de l’amour.

Appelez-nous ! Je vous ferais avancer dans votre vie !