Comment chasser un mec lourd par SMS ? Découvrons comment nous pouvons repousser un garçon insistant grâce à quelques conseils utiles qui, mis en pratique, peuvent nous aider à le dissuader de nous faire la cour.

Comment repousser un mec lourd par SMS ? Bien que cela dépende de son insistance, car il y a aussi ceux qui exagèrent et risquent de devenir pathologiques, en cas d’insistance « normale », il est possible de recourir à une certaine stratégie pro-expulsion. La première suggestion est d’être ferme, presque inébranlable, car une certaine froideur est nécessaire dans ce genre de cas. Et si cela ne suffit pas, voici quelques autres conseils utiles pour réussir.

Soyez ferme

S’il insiste trop, il vaut mieux être ferme avec lui. Tout petit signal pourrait être mal interprété, même s’il ne s’agit que d’une question de bonté. D’autre part, le prétendant insistant n’attend rien de plus qu’un signe.

Avoir plus confiance en soi

On dit que nous attirons souvent des personnes et des situations qui, d’une certaine manière, reflètent des parties de nous ou il arrive que, n’ayant pas beaucoup de confiance en soi, nous ayons tendance à attirer des individus qui en profitent en le percevant inconsciemment. Dans ces cas, la meilleure façon de chasser le prétendant indésirable est de suivre une thérapie individuelle afin d’augmenter l’estime de soi.
Ne vous justifiez pas

Les justifications sont inutiles, elles aggravent même la situation car elles font que l’autre se sent important, comme si nous nous sentions obligés de lui donner des explications pour nos choix. Cette attitude lui donne du courage et le rend encore plus insistant.

Être sincère

Aussi difficile qu’il puisse être de dire la vérité, dans certains cas, c’est vraiment la meilleure solution, surtout s’il n’abandonne pas. La vérité fait mal mais elle résout de nombreux problèmes et empêche des conséquences insidieuses. Bannissons donc l’insécurité.

Agir avec froideur

La froideur chasse tout prétendant et constitue donc la meilleure stratégie pour pouvoir chasser les prétendants particulièrement insistants. Il est bien connu que le fait de ne pas répondre ou de le faire de manière froide fera renoncer quelqu’un.
Si le garçon travaille avec vous, soyez professionnel.

Pas de blagues pendant les pauses, pas de regards, de sourires et autres. Si vous avez la malchance d’avoir le prétendant indésirable parmi vos collègues, la seule façon de le dissuader, espérons-le, est de ne pas lui accorder une attention qui ne soit pas strictement liée au travail lui-même. Et s’il insiste, alerte un supérieur ou a recours à la loi, c’est parfois indispensable.

LES PRÉCAUTIONS GÉNÉRALES

a) Lorsque c’est possible, il est de bonne habitude de noter dans le temps toutes les personnes qui prennent connaissance de notre numéro de téléphone portable à partir du jour de l’activation contractuelle de la carte SIM. Le moyen le plus simple de garder le contrôle est de stocker les noms dans le téléphone portable lui-même, même si nous nous attendons à ne pas avoir besoin de les appeler.

b) Toute personne qui, pour des raisons professionnelles ou personnelles, doit rendre public son numéro de téléphone portable doit raisonnablement envisager la possibilité de devoir traiter avec des imbéciles ou des harceleurs. Dans ce cas, il n’est certainement pas possible de garder la trace de tous ceux qui ont connaissance du numéro ; il sera donc utile de prévoir l’achat d’un deuxième téléphone portable et/ou d’une deuxième carte SIM pour un usage strictement personnel, en réservant le premier à un usage professionnel et en l’éteignant après les heures d’ouverture.

c) Modifier le code d’accès du répondeur téléphonique du numéro de réseau fixe. De nombreux répondeurs téléphoniques fixes permettent d’écouter les messages à distance à l’aide d’un mot de passe. Si vous ne changez pas le mot de passe (ce qui est beaucoup plus fréquent que vous ne le pensez !), tout le monde peut écouter le répondeur en essayant les codes par défaut et obtenir des informations sur la vie privée et/ou professionnelle de la victime. Ne désactivez pas le répondeur si le harceleur laisse des messages lorsque personne ne répond : il s’agit d’un enregistrement, donc d’un élément à conserver.

d) Considérer le téléphone portable et son numéro comme un effet personnel. Tout comme nous sommes réticents à montrer notre carte de crédit ou notre carte d’identité à la première personne qui la rencontre, il est également conseillé de conserver votre téléphone portable dans un endroit sûr. Nous parlons surtout des très jeunes, qui aiment échanger leur numéro de téléphone portable parfois avant même de connaître le nom d’une personne, et qui se plaignent ensuite fréquemment de harcèlement, notamment par SMS. Le téléphone portable est désormais connu sous le nom de « troisième main » : il n’est donc pas exagéré de prendre les mêmes précautions que celles qui s’appliquent normalement aux autres biens personnels.

e) Évitez de personnaliser le répondeur avec un message vocal de l’utilisateur, surtout s’il s’agit d’une femme. Elle éliminera un facteur de perturbation possible résultant des recherches aléatoires des perdants et des personnes déséquilibrées.

f) N’oubliez pas que, grâce aux services « d’appel » et autres, dans de nombreux cas, un harceleur peut savoir exactement quand allumer son téléphone portable. Si le contrôle est constant, les services d' »appel », de « rappel » et autres services similaires peuvent fournir au harceleur des éléments précieux pour suivre les habitudes personnelles de la victime. Si la personne harcelée n’est pas au courant de ce service, et donc du fait qu’elle peut facilement le désactiver, elle peut être encline à surestimer le risque, en supposant peut-être un harcèlement ou une présence proche qui n’existe pas. Ces services peuvent être désactivés gratuitement (contactez votre opérateur). Si vous n’avez pas l’intention de désactiver ce service, vous ne devez jamais allumer et éteindre votre téléphone portable aux mêmes heures (par exemple, lorsque vous quittez le travail ou lorsque vous vous réveillez) afin d’éviter les habitudes et les horaires de communication.

g) Dans le cas des numéros de téléphone fixe, il est courant de demander de NE PAS figurer dans les annuaires téléphoniques, surtout s’ils sont féminins. Vous pouvez également choisir cette option.

AGIR

1) Notez la date et l’heure des appels ou conservez les SMS harcelants, de préférence en créant un texte séparé avec un historique et des notes sur les sujets et/ou les enregistrements. Ces données pourraient être particulièrement utiles pour analyser les relevés téléphoniques des opérateurs téléphoniques, même après des mois, mais aussi pour examiner les heures et les jours de la semaine afin de rechercher des aspects potentiellement intéressants (par exemple, les habitudes et les horaires du harceleur). Le harcèlement téléphonique est l’un des cas prévus par la loi dans lesquels, à la discrétion du magistrat, l’interception d’un numéro de téléphone peut être organisée dans le bureau central : les autorités, après avoir identifié le numéro de l’appelant (cela se produit évidemment même si les appels sont à « numéro anonyme »), mettront sous contrôle les utilisateurs/utilisateurs du harceleur pour commencer la collecte de preuves à passer devant le tribunal. Les preuves acquises par la personne harcelée avec des enregistrements « à faire soi-même » sont généralement prises en considération par les enquêteurs et les instances judiciaires (mieux encore si elles sont intégrées aux témoignages de tiers écoutant les appels de harcèlement).
N.B. L’enregistrement d’appels téléphoniques anonymes et harcelants arrivant sur votre ligne ne constitue pas un délit.

2) En cas de harcèlement par SMS envoyés sur Internet, tenez compte du fait que presque tous les services envoient également une séquence numérique. Ces numéros doivent être soigneusement transcrits ainsi que la date et l’heure de réception car ils représentent l’IP du serveur qui a envoyé le SMS. L’adresse IP sera utilisée par la police pour accéder aux fichiers LOG du fournisseur par lequel le harceleur a établi la connexion à l’internet.
Dans certains cas (par exemple, les IP statiques de grandes entreprises ou de toute façon des réalités avec une structure informatique articulée et gérée en interne), l’IP pourrait être utile immédiatement en utilisant des programmes simples appelés « IP solver » ou « Traceroute » : parfois (pas toujours) ils peuvent fournir une localisation géographique ou même ils peuvent « résoudre » l’IP directement dans le DNS (nom de domaine) en fournissant une chaîne alphabétique significative. Dans les SMS envoyés par Internet, on trouve généralement aussi un autre numéro à 4 ou 5 chiffres (par exemple 92004 – 42420, etc.). Ce numéro représente le code d’expéditeur de l’opérateur et est également très important. En cas de SMS ou d’appels téléphoniques via les services téléphoniques en ligne « VOIP » (VoiceOverIP, par exemple Skype), des séquences de numéros importantes sont également communiquées pour l’enquête. Dans le cas des appels téléphoniques vocaux, ces opérateurs utilisent des « passerelles » (interconnexions) avec les lignes téléphoniques fixes qui sont en fait des numéros de téléphone normaux : bien que ces numéros soient au nom de l’opérateur (et non du harceleur), ils doivent être stockés et transcrits avec soin car ils représentent une donnée extrêmement importante à retracer avec une relative rapidité jusqu’à l’IP et/ou l’utilisateur qui a généré l’appel téléphonique VOIP.

3) La plupart des téléphones GSM sur le marché sont équipés de répertoires téléphoniques qui peuvent être divisés par « groupe d’appelants ». Dans certains cas, en agissant sur ces fonctions, il est possible d’obtenir un puissant filtre automatique qui exclut complètement toutes les sonneries dans le cas d’appels avec un numéro anonyme ou sans rapport avec un « groupe » spécifique d’utilisateurs. Il s’agit d’une mesure limite réservée aux cas limites, mais très efficace. Entendre aussi l’opérateur pour la disponibilité d’éventuels filtres de ce type, qui n’agissent cependant évidemment pas au niveau du téléphone mobile mais au niveau de la ligne téléphonique.

4) Pour ceux qui souhaitent franchir une nouvelle étape dans la protection contre le harcèlement par appels et par SMS, nous recommandons l’utilisation de téléphones portables avec le système d’exploitation WindowsMobile, Symbian ou Android : pour ces téléphones sont disponibles des logiciels gratuits ou à bas prix très efficaces (dans le jargon « Apps ») largement modulaires et configurables en fonction du type et de la gravité du harcèlement : par exemple, ils permettent de rejeter automatiquement les appels avec un numéro anonyme sans sonnerie, les appels provenant de certains numéros, les appels avec un certain préfixe, etc. Dans le cas des SMS, en revanche, ils disposent d’une fonction « anti-perturbation » efficace avec deux modes : suppression automatique immédiate des SMS de certains numéros sans laisser de traces et sans alertes acoustiques (non recommandé car vous perdez toute possibilité de procès) ou « traitement spécial » des SMS de certains numéros : dans ce cas (recommandé) les SMS harcelants ne sont pas avertis acoustiquement comme les SMS normaux et ne sont pas visibles dans la liste des SMS normaux, mais sont silencieusement et automatiquement placés dans un fichier texte spécial pour être lus avec commodité ou acquis sur le disque. Ces applications sont facilement disponibles sur Internet pour le système d’exploitation de votre téléphone portable.

4) Pour les lignes téléphoniques fixes : si vous ne disposez pas d’un appareil de ligne fixe avec écran, il peut être utile d’en acheter un afin de voir qui appelle (identification de l’appelant) ou de détecter l’absence d’identification de l’appelant avant de répondre. Parfois, le service « CallerID » n’est pas disponible sur la ligne et/ou pour l’opérateur téléphonique utilisé. Mais il suffit de demander son activation (réf. « Activation de l’identification de l’appelant »). Il existe également une large gamme d’affichages externes (supplémentaires) qui n’affichent que l' »identification de l’appelant » sur une ligne fixe. Les coûts sont absolument modestes. La pratique consistant à ne pas répondre à ceux qui n’envoient pas leur numéro d’appel est en augmentation, même parmi les utilisateurs non dérangés. Ne pas envoyer votre « CallerID », c’est un peu comme frapper chez quelqu’un en disant : « Je ne vous dirai pas qui je suis mais je dois vous parler »… il y a ceux qui y consentent et ceux qui ne le font pas, avec des raisons respectables dans les deux cas.

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